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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 14:07

 

Quand l’annonce d’un mariage fait perdre la tête à toute une famille… Un roman irrésistible sur la vie domestique britannique, par l’auteur du Bizarre Incident du chien pendant la nuit.

George, le père, est hypocondriaque ; Jean, la mère, couche avec l’ancien collègue de George ; Jamie, leur fils gay, est incapable d’officialiser sa liaison avec son amant en l’invitant au mariage de sa sœur ; et Katie, la future mariée, se demande si elle aime vraiment Ray, l’homme qu’elle doit épouser. Et ce dernier a tout de la brute épaisse avec une cervelle de la taille d’un pois chiche…

Quand Katie décide d’annuler le mariage, l’équilibre familial, patiemment construit au fil des années, implose. Disputes, règlements de comptes, insultes – George, Jean, Katie et Jamie ne s’épargnent rien… Mais, aussi cinglé soit-il, chacun des personnages saura, à sa manière, s’arrêter à temps pour revenir à l’essentiel : le bonheur de la famille.

Détenu au Liban pendant trois ans, le narrateur choisit après sa libération de s'installer au coeur de la forêt landaise.

Deux maçons taciturnes restaurent la maison. Il campe au milieu du chantier, rééduquant ses cinq sens au contact de la nature. Il va devenir prisonnier de la demeure dans la clairière et prendre de plus en plus de goût à cette dépendance. Dans cette parenthèse qui sépare la fin de l'épreuve du retour au monde des vivants, il écrit ce livre de la délectation où les odeurs, les visions et les rumeurs du monde sont nommées comme au premier jour.

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 13:14
Durant la Grande Dépression, dans les années 30, les trains des petits cirques ambulants sillonnent l'Amérique. Jacob Jankowski, orphelin sans le sou, saute à bord de celui des frères Benzini et de leur «plus grand spectacle du monde». Embauché comme soigneur, il va découvrir l'envers sordide du décor où tous, hommes et bêtes, sont pareillement exploités, maltraités.
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 13:01

Au centre, l'héroïne : jeune Sarde étrange "aux longs cheveux noirs et aux yeux immenses".

Toujours en décalage, toujours à contretemps, toujours à côté de sa propre vie... A l'arrière-plan, les personnages secondaires, peints avec une touche d'une extraordinaire finesse : le mari, épousé par raison pendant la Seconde Guerre, sensuel taciturne à jamais mal connu; le Rescapé, brève rencontre sur le Continent, à l'empreinte indélébile; le fils, inespéré, et futur pianiste; enfin, la petite-fille, narratrice de cette histoire, la seule qui permettra à l'héroïne de se révéler dans sa vérité.
♥♥♥♥♥

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 13:00
À Calcara, village de la Sicile intérieure, la vie remue à peine. Sur la place les silhouettes noires vont et viennent, lentes et furtives. Elles évitent Cosimo, censé jeter des sorts. Quelques hommes pourtant s'intéressent à lui. Modeste, maigre et triste comme il est, ils le trouvent parfait. Sa mère aussi le guette, de l'œil et du geste. Dans cette immobilité parfaite, Cosimo, lui, attend. Seul, inquiétant de passivité, sous une lumière dantesque merveilleusement rendue par une écriture au couteau : il ignore qu'il va bientôt entrer en scène.
♥♥
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 13:00
À Calcara, petit village de la Sicile intérieure, la légende court ainsi : le réparateur de bicyclettes Cosimo Tumminia est un inquiétant jeteur de sorts auquel il vaut mieux ne pas avoir affaire. Quitte à changer subrepticement de trottoir pour éviter de croiser son chemin. Il faut dire que le jeune homme a toute l'apparence de la réputation qu'il possède. Isolé, taciturne, longtemps vêtu de noir après la mort de son père, il a peu d'amis, peu de contacts et vit à l'écart, à la campagne. Qui serait mieux indiqué pour garder un enfant kidnappé ? Cosimo n'est de toute façon pas en position de refuser : en Sicile, il est des gens à qui il n'est tout simplement pas conseillé de dire non. Ce sont en outre des personnes qui n'oublient pas les services rendus, une manière de miser sur de futures espérances. Mais les jours passent, la presse ne fait état d'aucun enlèvement, l'enfant refuse de manger et contrairement à ce qui avait été prévu, personne ne vient le récupérer. La situation prend une nouvelle tournure lorsque la mère de Cosimo découvre chez son fils la présence de ce pensionnaire clandestin et décide de s'en mêler. Cosimo va devoir trouver une issue à ce cauchemar grandissant : rendre l'enfant, s'en débarrasser, en finir une fois pour toutes…
♥♥
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 12:59

Le mariage, les enfants ? Non merci !

À 36 ans, Tessa King a choisi : elle préfère sa vie de célibataire, ses virées shopping et ses aventures d’un soir. Tout le monde l’adore et envie sa liberté, sa joie de vivre et son humour décapant. Égoïste, Tessa ? Pas du tout. Elle est la marraine idéale, toujours présente en cas de coup dur. Confidente de Caspar qui fume des joints en cachette, baby-sitter occasionnelle de la petite Cora ou des jumeaux, elle est maman en pointillés et ça lui suffit. Jusqu’au jour où les parents des jumeaux meurent dans un accident de voiture. Pas le choix, elle doit assumer le rôle de maman à plein-temps et mettre entre parenthèses sa vie de célibataire. Adieu l’insouciance, bonjour les couches-culottes…Pile quand elle était sûre d’avoir enfin rencontré l’homme de sa vie !
♥♥♥♥♥
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 12:54
C'était un rite amoureux étrange de ce couple mal assorti. Hannah, 35 ans, aimait que Michaël, 15 ans, lui fasse la lecture à haute voix. Un jour Hannah disparaît. Quelques années plus tard, alors qu'il fait ses études de droit, Michaël retrouve Hannah au banc des accusées d'un procès contre des criminelles nazies. Elle se défend mal, comme si elle préférait une lourde condamnation à l'aveu d'un honteux secret... Pendant des années, Michaël continue d'envoyer des lectures enregistrées sur cassettes à la prison où Hannah purge une longue peine. Peut-on aimer quelqu'un dont on abhorre la conduite sans se rendre soi-même coupable ? Sous l'aspect d'une triste histoire d'amour, le roman soulève de graves questions, comme la responsabilité et les conditions de la dignité humaine.
♥♥♥♥♥
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 11:08
Michael Tolliver est vivant. Ses amis se sont perdus dans l’excès ou sont morts du SIDA. Lui a survécu à tout. Il a rencontré Ben, l’amour de sa vie. Mais sa famille se refuse toujours à accepter son homosexualité. Lorsque la mère de Michael tombe malade, c’est pourtant lui qu’elle appelle à ses côtés en Floride. À San Francisco, sa mère spirituelle, Anna Madrigal, tombe dans le coma. Il est alors confronté à un dilemme : doit-il accompagner cette mère qui l’a tant rejeté dans ses derniers instants ou rester auprès d’Anna ?
♥♥♥♥♥







Armistead Maupin
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 11:06
Après les désormais mythiques Chroniques de San Francisco, les inconditionnels d'Armistead Maupin rongeaient leur frein. Que l'on se rassure, il revient avec sa patte inchangée, la griffe acérée d'un chat-tigre, égratignant gentiment le petit monde américain. Gabriel Noon, le narrateur, est un écrivain reconnu, figure de lance du milieu gay, il flirte avec la cinquantaine et la renommée. "Noon at night", sa chronique diffusée sur la National Public Radio, est suivie assidûment par un grand nombre de fidèles. Finis les ébats dans les back-room enfumés, Gabriel Noon est devenu, comme il le dit, presque un conformiste de la cause homosexuelle, militant pour le safe sex et filant le parfait amour depuis dix ans avec son ami Jess. Mais une voix dans la nuit va réveiller la sensibilité de ce mandarin de la littérature gay. Cette voix est celle d'un enfant, Peter Lomax, âgé de 13 ans, qui lui fait parvenir le manuscrit de son autobiographie intitulée La Fabrique de cirages. Une autobiographie comme les autres, écrite par un petit singe savant !, se dit Noon, en entamant la lecture du manuscrit. En réalité, il s'agit de l'ensemble des sévices sexuels qu'a enduré le jeune garçon pendant des années. Noon est sous le choc. Il décide de rencontrer cet étrange garçon et très vite découvre en lui un fils spirituel. Drôle, caustique et profond, Armistead Maupin s'affirme dans Une voix dans la nuit comme un grand de la littérature contemporaine.
♥♥♥♥
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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 11:03

Après le succès des Chroniques de San Francisco, Armistead Maupin signe Maybe the moon, un roman très différent de sa précédente série mais où l'on retrouve tout le charme et l'humour de l'auteur. Cadence Roth dite Cady influencée par son amie Renée se décide à tenir un journal auquel elle confie ses péripéties professionnelles et sentimentales. Cady est un drôle de personnage. Elle mesure soixante dix neuf centimètres et Los Angeles est son vaste et cruel terrain d'aventures. Dans un gros succès hollywoodien, elle a tenu, dix ans auparavant, le premier rôle, celui d'un elfe découvert par un écolier timide derrière sa maison. Première réussite de sa carrière d'actrice, c'est aussi, malheureusement, la dernière. En partie parce qu'elle apparaît camouflée sous un costume en latex, nombreux sont les spectateurs croyant que cet elfe si charmant à l'écran n'était qu'un trucage. Encouragée par de nombreuses promesses jamais tenues, Cadence n'en désespère pas moins d'obtenir une nouvelle fois un rôle principal. Sa seule attente, devenir une star à part entière, l'égale de Sophia Loren ou Shirley MacLaine. Autour des histoires tragi-comiques de cette actrice en mal de célébrité, Armistead Maupin traite du thème de la différence dans une société sans états d'âme.
♥♥♥♥

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